Je suis en train d’achever la relecture active de “Cucurucucu”, le petit roman noir, et pas mal rouge aussi, (han la vache), que j’envisageais, éventuellement, de sortir en mars, en remplacement du premier volume des sublunaires. Je confirme qu’il paraîtra en temps et en heure. Pas sous ce nom-là par contre, qui est un nom de code un peu crétin, qui m’a permis de mettre ce manuscrit à part à part, et qui reste dans mon toc de donner à mes romans des noms de musiques existantes. Les six volumes des deux trilogies noires s’intitulent de traductions, approximatives parce que littérales, de standards de Weather report, les enquêtes de Gaby Kotska ont les noms de chansons d’Edith Piaf. Et puis la trilogie Vanina Ah ah… Vous savez que je sais que vous savez.
Il n’est pas mal ce roman en rouge et noir, et non en rouge et noir, ce ne sera pas son titre définitif non plus. Il met en scène un duo, comme presque toujours chez moi… mais le magnétisme qui tient ensemble les deux pôles qui le constituent, est contre nature, pour le dire vite. Ces deux-là devraient se repousser. Pour le dire vite encore, J’aime beaucoup le point de vue de Marton Kiss, le personnage dont on adopte le point de vue tout le temps. Alors que je ne suis pas sûr d’adorer Marton Kiss. ça fait envie hein ?
J’ajoute à cela que la seule lectrice de ce manuscrit là m’a fait remarquer qu’il n’est pas drôle. Je crois que j’ai déçu ma sœur. Et que je vais y insister.
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En rouge et noir
