Démarrage en côte, dirait on pour cette année pourtant pleine de promesses et de de de… Bon. Je lis “La tempête qui vient”, un bon gros volume comme James Ellroy en a le secret et je suis enlisé dedans comme prévu. Ellroy a un style constrictor. Je lui en sais gré mais punaise… que c’est rude. En parallèle, je peine à relire et remanier “Cucucurucucu”, le roman que j’ai prévu de publier en mars. J’ai un duo comique tragique, un meurtre passé, un meurtre à venir, une femme fatal à gros tétés, un bistrot, j’ai Villeurbanne comme décor, et un chat pour intéresser vraiment la parti… et je galère. Et avec ça, je suis dans la rédaction du tome 3 de la trilogie “La part du feu”. Comme tome 3, c’est le troisième que je vis, puisque j’ai déjà bouclé les trilogies “Par la racine” et “Vanina Ah Ah” et je sais que c’est compliqué. Il faut pouvoir tout ramasser en ne se baissant jamais. Il faut d’abord écrire un livre. En fait, il faudrait que je me convainc qu’il y aura un tome 4 pour tout résoudre et que je peux me lâcher. Pourtant j’ai tout pour me lâcher : j’ai une Gaby Kotska en colère et un Sal en Jupe, normalement il n’y a qu’à laisser filer. Allez on s’accroche.
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