Je vais mettre, d’ici à demain je présume, le point final au premier jet d’un petit roman dans la tonalité de “La vie en rose”, et avec sensiblement le même casting promené dans la même époque. Il devrait s’appeler “Milord”. Ensuite il faut que j’enchaine sur une dernière relecture, active et corrective, de “où la lune va”, roman noir, et pas mal rouge aussi, qui doit sortir pour le noël des petits enfants qui aiment le sang et la violence perturbante. Là encore, on retrouvera la bande à Gaby mais dans une ambiance bucolique pour la dépayser un peu. Mais la particularité de cette livre-ci dans sa fabrication est qu’il a bénéficié du regard d’une “béta-lectrice” d’élite : ma mère.
Il ressort de sa béta-lecture, que le personnage Sal est peut-être la planche pourrie la plus fiable qu’on ait vue dans une série de romans de gare. Et même qu’heureusement qu’on l’a. Et sinon qu’il est compliqué de comprendre comment un garçon aussi gentil et doux que moi peut pondre des choses aussi sordides et cauchemardesque.
ça ça lui échappe. Et elle m’a connu tout petit.