Déborah Sanguinetti est « la femme au chapeau à plume » qui donne son nom au tout premier volume de la trilogie « par la racine ». Elle n’est pas active, juste aimée et amoureuse, mais c’est pour elle qu’Amos Kowitz et tout son petit monde, le monde entier donc, basculent dans un déséquilibre qui ne sera jamais rattrapé en près de 900 pages … et en dépit de plus de dix morts atroces. Elle est décrite comme libertaire et bien merveilleuse dans le volume 1, et d’ailleurs elle l’est tellement qu’elle habite au Viet Nam dans le volume 2 et que ça épuise tout son caractère merveilleux. Elle revient dans le volume 3 pour être à nouveau la petite chose à protéger .
Elle a autour de 45 ans, un aérodynamisme qui fait dire au personnage principal qu’elle doit courir vite, elle a aussi un mari au delà de problématique et deux grands garçons. Silvio qu’on ne spoïlera pas et Sandro qui est un personnage de geek zinzin fonctionnel qui va devenir récurent dès « la vie en rose ».
Déborah Sanguinetti c’est un personnage inachevé et à qui j’écrirai bien un de ces jours une meilleure résolution.